Plante photographiée dans mes cultures
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Ravissante petite grassette des montagnes mexicaines Pinguicula esseriana
n'est avare ni de ses fleurs qu'elle épanouit pendant tout l'hiver, ni de rejets
spontanés, ses feuilles d'hiver succulentes pouvant, sous la pression de leur turgescence, s'éjecter d'elles-mêmes de la rosette pour se bouturer naturellement.
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À droite, la forme anciennement nommée Pinguicula jaumavensis, actuellement considérée comme synonyme au vu de la grande variabilité de l'espèce, présente des fleurs beaucoup plus ouvertes, avec des "nervures" bien plus contrastées...
J'avoue avoir un petit faible pour elle.
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